Ce cantique écrit par le Père de Montfort chante les louanges de Dieu dans tous ses bienfaits. Comme les anges qui ne cessent de le bénir dans le ciel, nous devons nous aussi offrir nos hommages à ce grand Dieu qui dans sa bonté ne cesse de nous prodiguer ses marques de tendresse: soulagement dans nos misères, victoires remportées dans nos combats, demandes exaucées, paix et joie intérieures lorsque nous sommes en sa grâce ou appels pressants de la conscience si nous n'y sommes plus, pardon accordé dès que nous revenons humblement vers lui, en un mot une multitudes de bienfaits dont la plus grande partie nous restera toujours inconnue en cette vie et pour lesquels il est de notre devoir de lui rendre de très vives actions de grâces.
Premier couplet du cantique avec partition pour quatre voix mixtes et orgue :
Couplet musical en boucle pour accompagner les chanteurs :
Paroles du cantique avec indication des liaisons :
Un pied souligné est à maintenir durant le chant sur la note suivante;
si ce pied est aussi en caractère gras et italique, il doit être tenu sur une troisième note.
Une syllabe muette entre parenthèses signifie qu'on peut éventuellement la chanter;
pour cela, la maintenir liée sur une autre note, marquer la virgule par un
cours silence et supprimer les autres liaisons du même vers, excepté la dernière.
si ce pied est aussi en caractère gras et italique, il doit être tenu sur une troisième note.
Une syllabe muette entre parenthèses signifie qu'on peut éventuellement la chanter;
pour cela, la maintenir liée sur une autre note, marquer la virgule par un
cours silence et supprimer les autres liaisons du même vers, excepté la dernière.
REFRAIN :
Bénissons à jamais,
Bénissons, bénissons à jamais,
Bénissons, bénissons à jamais, (bis)
Le Seigneur dans ses bienfaits. (bis)
1
Bénissez-le, saints anges,
Louez sa majesté ;
Rendez à sa bonté
Mille et mille louanges.
2
Fut-il jamais un père
Qui, de ses chers enfants,
Par des soins plus touchants,
Soulageât la misère ?
3
Pasteur tendre et fidèle,
Sans craindre le travail,
Il ramène au bercail
Une brebis rebelle.
4
Il protège sans cesse
La veuve et l'orphelin ;
Ce n'est jamais en vain
Que l'humble à lui s'adresse.
5
Il donne la victoire
Au juste qui combat ;
Il terrasse, il abat
L'ennemi de sa gloire.
6
Il a séché les larmes
Qui coulaient de mes yeux ;
Il a comblé mes vœux,
Et fini mes alarmes.
7
Il a brisé mes chaînes,
Comme un puissant vainqueur ;
Comme un tendre sauveur,
Il adoucit mes peines.
8
Il me comble, à toute heure,
De joie et de bonheur ;
Il daigne dans mon cœur
Établir sa demeure.
9
À lui je me confie ;
Seul il est mon soutien,
Seul il est tout mon bien,
Ma richesse et ma vie.
10
Lorsque je l'abandonne,
Il m'appel(le), il m'attend ;
Je reviens : à l'instant
Sa bonté me pardonne.
11
Pour guérir ma faiblesse,
Ce tendre médecin,
Sur son cœur, sur son sein,
Me réchauffe et me presse.
12
Là, sa douceur m'enchaîne,
Sa beauté me ravit,
Sa force m'affermit,
Sa charité m'entraîne.
13
Ô cieux ! rendez-lui gloire
Pour de si doux bienfaits ;
Ils seront à jamais
Gravés dans ma mémoire.
14
Oui, pour tant de tendresse,
Désormais, ô mon Dieu !
En tout temps, en tout lieu,
Je redirai sans cesse :
Bénissons à jamais,
Bénissons, bénissons à jamais,
Bénissons, bénissons à jamais, (bis)
Le Seigneur dans ses bienfaits. (bis)
1
Bénissez-le, saints anges,
Louez sa majesté ;
Rendez à sa bonté
Mille et mille louanges.
2
Fut-il jamais un père
Qui, de ses chers enfants,
Par des soins plus touchants,
Soulageât la misère ?
3
Pasteur tendre et fidèle,
Sans craindre le travail,
Il ramène au bercail
Une brebis rebelle.
4
Il protège sans cesse
La veuve et l'orphelin ;
Ce n'est jamais en vain
Que l'humble à lui s'adresse.
5
Il donne la victoire
Au juste qui combat ;
Il terrasse, il abat
L'ennemi de sa gloire.
6
Il a séché les larmes
Qui coulaient de mes yeux ;
Il a comblé mes vœux,
Et fini mes alarmes.
7
Il a brisé mes chaînes,
Comme un puissant vainqueur ;
Comme un tendre sauveur,
Il adoucit mes peines.
8
Il me comble, à toute heure,
De joie et de bonheur ;
Il daigne dans mon cœur
Établir sa demeure.
9
À lui je me confie ;
Seul il est mon soutien,
Seul il est tout mon bien,
Ma richesse et ma vie.
10
Lorsque je l'abandonne,
Il m'appel(le), il m'attend ;
Je reviens : à l'instant
Sa bonté me pardonne.
11
Pour guérir ma faiblesse,
Ce tendre médecin,
Sur son cœur, sur son sein,
Me réchauffe et me presse.
12
Là, sa douceur m'enchaîne,
Sa beauté me ravit,
Sa force m'affermit,
Sa charité m'entraîne.
13
Ô cieux ! rendez-lui gloire
Pour de si doux bienfaits ;
Ils seront à jamais
Gravés dans ma mémoire.
14
Oui, pour tant de tendresse,
Désormais, ô mon Dieu !
En tout temps, en tout lieu,
Je redirai sans cesse :
Téléchargement des paroles :
- avec
indication des liaisons.
Téléchargement de la partition originale pour quatre voix mixtes et orgue
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